L'Art de la Magie
Origine Perse. Noir et divin ancêtre de tous les démons.
Action d'absoudre. Effacement d'une faute par le pardon. Chez les catholiques, rémission des péchés accordée par le prêtre
après la confession. Ex : Donner l'absolution à un pêcheur.
(Wicca)- Le cinquième élément, le pouvoir spirituel omniprésent dont l'univers est imprégné. C'est l'énergie fondamentale dont
les éléments tirent leur existence (wicca)
(Sorcellerie) - Objet magiquement chargé qui détourne des énergies spécifiques, le plus souvent négatives. C'est en général
un objet de protection. (voir Talisman)
(Sorcellerie) - Gerbe d'herbes fraîches ou objet perforé utilisé pour jeter de l'eau pendant ou avant le rituel et servant à
la purification.
(Sorcellerie - Wicca) - Couteau rituel wicca possédant ordinairement une lame à deux tranchants et un manche de couleur noire.
On utilise l'athamé pour diriger le pouvoir personnel pendant le rituel. Il sert très rarement à couper des objets matériels. Le mot athamé est d'origine
inconnue ; il existe des variantes orthographiques chez les wiccans et plus encore de prononciations différentes. Le terme athamé peut aussi être remplacé
par couteau magique ou plus simplement couteau.
L'Auto conscient Primitif est notre esprit "instinctif préhistorique". A mesure que la vie a progressé,
depuis l'âge plus instinctif des poissons, des amphibies, des reptiles et des oiseaux, jusqu'à l'âge plus intellectuel des grands singes et de l'homme,
il éprouva de moins en moins le besoin de ce remarquable contrôle que l'Auto conscient Primitif exerçait sur lui et de plus en plus celui de ses pouvoirs
de raisonnement. L'Homme, en conséquence, perdit le chancelant contrôle psychique et musculaire dont l'Auto conscient Primitif avait doté les plus anciennes
mais les plus basses formes de vie. Il fit évoluer en remplacement, le cortex cérébral (l'enveloppe extérieure grise du cerveau) comparativement épais qui
abrite son conscient et son subconscient. En fait, pendant tout le temps de notre croisssance jusqu'à notre maturité nous avons perdu encore davantage de notre
Auto conscient Primitif. Il a été mieux développé en nous anatomiquement (ainsi que les embryologistes l'ont découvert) pendant que nous étions un enfant.
Voir l'article sur la Cyclomancie
(du grec, a, privatif et géiné, géinomaé, engendrer ; qui n'a pas été engendré). Variété de
l'apparition tangible ; état de certains Esprits qui peuvent revêtir momentanément les formes d'une personne vivante, au point de faire complètement illusion.
Extrait du "Livre des Esprits" : "Il est un autre mot sur lequel il importe également de s'entendre, parce que c'est une
des clefs de voûte de toute doctrine morale, et qu'il est le sujet de nombreuses controverses, faute d'une acception bien déterminée, c'est le mot âme. La divergence
d'opinions sur la nature de l'âme vient de l'application particulière que chacun fait de ce mot. Une langue parfaite, où chaque idée aurait sa représentation par un
terme propre, éviterait bien des discussions ; avec un mot pour chaque chose, tout le monde s'entendrait.
Selon les uns, l'âme est le principe de la vie matérielle organique ; elle n'a point d'existence propre et cesse avec la vie : c'est le matérialisme pur. Dans ce
sens, et par comparaison, ils disent d'un instrument fêlé qui ne rend plus de son : qu'il n'a pas d'âme. D'après cette opinion, l'âme serait un effet et non une
cause.
D'autres pensent que l'âme est le principe de l'intelligence, agent universel dont chaque être absorbe une portion. Selon eux, il n'y aurait pour tout l'univers
qu'une seule âme qui distribue des étincelles entre les divers êtres intelligents pendant leur vie ; après la mort, chaque étincelle retourne à la source
commune où elle se confond dans le tout, comme les ruisseaux et les fleuves retournent à la mer d'où ils sont sortis. Cette opinion diffère de
la précédente en ce que, dans cette hypothèse, il y a en nous plus que la matière et qu'il reste quelque chose après la mort ; mais c'est à peu près
comme s'il ne restait rien, puisque, n'ayant plus d'individualité, nous n'aurions plus conscience de nous-même. Dans cette opinion, l'ême universelle serait
Dieu et chaque être une portion de la Divinité, c'est une variété du panthéisme.
Selon d'autres enfin, l'ême est un être moral, distinct, indépendant de la matière et qui conserve son individualité après la mort. Cette acception
est, sans contredit, la plus générale, parce que, sous un nom ou sous un autre, l'idée de cet être qui survit au corps se trouve à l'état de croyance
instinctive et indépendante de tout enseignement, chez tous les peuples, quel que soit le degré de leur civilisation. Cette doctrine, selon laquelle l'ême
est la cause et non l'effet, est celle des spiritualistes.
Sans discuter le mérite de ces opinions, et en ne considérant que le côté linguistique de la chose, nous dirons que ces trois applications du mot âme constituent
trois idées distinctes qui demanderaient chacune un terme différent. Ce mot a donc une triple acception, et chacun a raison à son point de vue, dans
la définition qu'il en donne ; le tort est à la langue de n'avoir qu'un mot pour trois idées. Pour éviter toute équivoque, il faudrait restreindre l'acception
du mot ême à l'une de ces trois idées ; le choix est indifférent, le tout est de s'entendre, c'est une affaire de convention. Nous croyons plus logique de le
prendre dans son acception la plus vulgaire ; c'est pourquoi nous appelons AME l'être immatériel et individuel qui réside en nous et
qui survit au corps. Cet être n'existerait-il pas, et ne serait-il qu'un produit de l'imagination, qu'il faudrait encore un terme pour le désigner."
Extrait du Livre des Esprits (Introduction - Paragraphe II) :
On conçoit qu'avec une acception multiple, l'âme n'exclut ni le matérialisme, ni le panthéisme. Le spiritualiste lui-même peut très bien entendre l'âme selon
l'une ou l'autre des deux premières définitions, sans préjudice de l'être immatériel distinct auquel il donnera alors un nom quelconque. Ainsi ce mot n'est point
le représentant d'une opinion : c'est un protée que chacun accommode à sa guise ; de là, la source de tant d'interminables disputes.
On éviterait également la confusion, tout en se servant du mot âme dans les trois cas, en y ajoutant un qualificatif qui spécifierait le point de vue sous
lequel on l'envisage, ou l'application qu'on en fait. Ce serait alors un mot générique, représentant à la fois le principe de la vie matérielle, de
l'intelligence et du sens moral, et que l'on distinguerait par un attribut, comme les gaz, par exemple, que l'on distingue en ajoutant les mots hydrogène,
oxygène ou azote. On pourrait donc dire, et ce serait peut-être le mieux, l'âme vitale pour le principe de la vie matérielle,
l'âme intellectuelle pour le principe de l'intelligence et l'âme spirite pour le principe de notre individualité après la mort. Comme on le voit,
tout cela est une question de mots, mais une question très importante pour s'entendre. D'après cela l'âme vitale serait commune à tous les êtres organiques :
plantes, animaux et hommes ; l'âme intellectuelle serait le propre des animaux et des hommes, et l'âme spirite appartiendrait à l'homme seul.
Extrait du Livre des Esprits (Introduction - Paragraphe II) :
On conçoit qu'avec une acception multiple, l'âme n'exclut ni le matérialisme, ni le panthéisme. Le spiritualiste lui-même peut très bien entendre l'âme selon
l'une ou l'autre des deux premières définitions, sans préjudice de l'être immatériel distinct auquel il donnera alors un nom quelconque. Ainsi ce mot n'est point
le représentant d'une opinion : c'est un protée que chacun accommode à sa guise ; de là, la source de tant d'interminables disputes.
On éviterait également la confusion, tout en se servant du mot âme dans les trois cas, en y ajoutant un qualificatif qui spécifierait le point de vue sous
lequel on l'envisage, ou l'application qu'on en fait. Ce serait alors un mot générique, représentant à la fois le principe de la vie matérielle, de
l'intelligence et du sens moral, et que l'on distinguerait par un attribut, comme les gaz, par exemple, que l'on distingue en ajoutant les mots hydrogène,
oxygène ou azote. On pourrait donc dire, et ce serait peut-être le mieux, l'âme vitale pour le principe de la vie matérielle,
l'âme intellectuelle pour le principe de l'intelligence et l'âme spirite pour le principe de notre individualité après la mort. Comme on le voit,
tout cela est une question de mots, mais une question très importante pour s'entendre. D'après cela l'âme vitale serait commune à tous les êtres organiques :
plantes, animaux et hommes ; l'âme intellectuelle serait le propre des animaux et des hommes, et l'âme spirite appartiendrait à l'homme seul.
Extrait du Livre des Esprits (Introduction - Paragraphe II) :
On conçoit qu'avec une acception multiple, l'âme n'exclut ni le matérialisme, ni le panthéisme. Le spiritualiste lui-même peut très bien entendre l'âme selon
l'une ou l'autre des deux premières définitions, sans préjudice de l'être immatériel distinct auquel il donnera alors un nom quelconque. Ainsi ce mot n'est point
le représentant d'une opinion : c'est un protée que chacun accommode à sa guise ; de là, la source de tant d'interminables disputes.
On éviterait également la confusion, tout en se servant du mot âme dans les trois cas, en y ajoutant un qualificatif qui spécifierait le point de vue sous
lequel on l'envisage, ou l'application qu'on en fait. Ce serait alors un mot générique, représentant à la fois le principe de la vie matérielle, de
l'intelligence et du sens moral, et que l'on distinguerait par un attribut, comme les gaz, par exemple, que l'on distingue en ajoutant les mots hydrogène,
oxygène ou azote. On pourrait donc dire, et ce serait peut-être le mieux, l'âme vitale pour le principe de la vie matérielle,
l'âme intellectuelle pour le principe de l'intelligence et l'âme spirite pour le principe de notre individualité après la mort. Comme on le voit,
tout cela est une question de mots, mais une question très importante pour s'entendre. D'après cela l'âme vitale serait commune à tous les êtres organiques :
plantes, animaux et hommes ; l'âme intellectuelle serait le propre des animaux et des hommes, et l'âme spirite appartiendrait à l'homme seul.
Définition :
Le ouija (prononcé : /wi.ʒa/ en français ; en anglais : /ˈwiː.dʒə/ ou /ˈwiː.dʒi/) est une planche permettant la communication avec des « esprits », elle fait
partie des instruments de psychographie indirecte pour les spirites.
Le ouija est une planche sur laquelle apparaissent les lettres de l'alphabet latin, les dix chiffres arabes, ainsi que les termes « oui », « non », « bonjour » et
« au revoir », censée permettre la communication avec les esprits au moyen d'un accessoire placé sur la planche, généralement un verre retourné ou une « goutte »,
un objet disposant d'un côté pointu.
Selon la parapsychologie, le ouija est un moyen classique, avec risque, d'entrer en communication avec le monde des esprits.
Histoire :
L'usage d'une planche recouverte de lettre pour communiquer avec les esprits s'inscrit dans l'engouement pour le spiritisme aux États-unis d'Amérique au XIXe siècle,
notamment à la suite des nombreux deuils consécutifs à la guerre de sécession. Des journaux évoquent son usage dans les camps de spiritiste de l'Ohio en 1886.
Le nom "ouija" est inventé en 1890 à Baltimore par une médium, Helen Peters, et aurait été dicté par la planche elle-même. Un premier brevet
est déposé par la Kennard Novelty Company, fondée entre autre par Elijah Bond, le beau frère d'Helen Peters. L'office des brevets américain demande d'ailleurs
avant de délivrer le brevet que la validité de l'invention leur soit prouvé, ce qui se traduit par une démonstration de spiritisme d'Helen Peters devant
un fonctionnaire de l'office. L'entreprise Kennard Novelty Company fabrique et commercialise les planches, mais cède rapidement les droits à Wiliam Fuld
qui en assure la vente sur catalogue. La famille de ce dernier continue d'assurer la fabrication et la vente des planches après sa mort accidentelle en 1927,
avant de céder l'entreprise en 1966 à Parker Brothers racheté dans un second temps par Hasbro.
Anecdote :
Romano Prodi, ancien président de la Commission européenne, affirme lors de la commission d'enquête sur le meurtre d'Aldo Moro, ancien chef du gouvernement,
enlevé puis assassiné par les Brigades rouges que, lors d'une séance de spiritisme, les « esprits » lui auraient indiqué, via un ouija, qu'il était détenu dans
un lieu nommé Gradoli.
Une descente de police dans le village de Gradoli (près de Viterbe) ne donne rien, mais il est révélé plus tard que Moro avait été détenu rue Gradoli à Rome.
Source : site Wikipédia
Site Le Sanctuaire.net (2007) - version 5 du 01/04/2024 - sylvain.administrateur@lesanctuaire.net